Cette guerre qu’ils nous font, et que nous ne faisons pas encore…

Daesh L’activité terroriste semble prendre une ampleur que nos hommes de la sécurité du territoire ont probablement prévu et qu’ils devaient craindre. Leurs vrais questions étant : où ? quand et comment ? Le dernier en date (au moment où j’écris) est tout aussi horrible que les précédents, mais atteint profondément les Français par ce qu’il représente. La haine égorge en martyr un prêtre de la religion de l’Amour. L’acte est criminel et se trouve signé par celui qui l’a commis.
Pour autant qu’il soit révoltant, il est bon que notre civilisation chrétienne ne perde pas son sang froid en face de ces gestes de cruauté barbare. Il nous faut resserrer les rangs derrières ceux qui doivent assurer notre sécurité. Nous savons qu’ils ont la compétence et qu’ils sont freinés par l’idéologie dominante angélique et autiste qui nous gouverne. Démissionnons les incompétents qui n’ont pas le réalisme de le faire. Pour la loi d’exception, appliquons le principe de faire en sorte que les décisions soient prises aussi près que possible des citoyens voir par les citoyens eux-mêmes en les rendant responsables et solidaires. Ceci en confiant le gouvernement à des personnalités non partisanes, issues de la société civile et des grands corps de l’état, dirigées par un Chef de l’État doté par le Parlement des pouvoirs d’exception prévus par l’article 16 de la Constitution.
Nous ne faisons pas encore la guerre, puisque nos gouvernants ne désignent pas l’ennemi. La France continue à tenter d’assurer des opérations de police sous le contrôle d’un semblant de justice idéologique. Nous ferons effectivement la guerre lorsque l’ennemi désigné, deviendra l’objectif à détruire.
Nous sommes convaincus, cependant, que seul un souverain disposerait de la légitimité et de l’ampleur de vue suffisante pour prendre les mesures de long terme qui s’imposent et dont nous vous proposons les principales : la réforme de l’école pour y rétablir la qualité de l’instruction et l’enseignement de la culture générale nécessaires à l’épanouissement d’hommes libres ; la mutation de l’islam actuellement en France en un islam de France, national et ouvert à la critique historique et l’exégèse des textes sacrés ; la restauration du service militaire afin de rendre à la défense nationale sa capacité à surveiller et sécuriser tout le territoire national face à une menace terroriste pouvant surgir partout et à tout instant.

Robert de Prévoisin
délégué général.

 

Note du délégué Ile de France : inspirons-nous aussi, peut-être, des Italiens après l’assassinat de trop : celui, en ’92, du juge Falcone. De 1992 à 1998, 20 000 militaires (et matériel) déployés sur le terrain ont porté un coup fatal aux opérations terroristes de la M
afia… ayons le courage d’appliquer des solutions efficaces