Le cri du bon sens

Nous entrons pour une nouvelle fois dans l’ère agitée et romanesque de grandes élections, le régime des partis que la république nous impose va une nouvelle fois nous monter un visage bien fade pour ne pas dire cadavérique. Cela bien sur ne va pas pousser mes compatriotes à retrouver le chemin des urnes.
Nous retrouverons, avec un peu plus de densité ce que nous vivons depuis quelques années, une ambiance de cours de maternelle ou des bandes de gamins se gauloisent (s’en vouloir être vulgaire dans la forme), mais un esprit honnête ne peut que se convaincre de la bassesse des débats dont nous aurons le triste sort de subir plus que d’y participer. Pourtant l’intelligence humaine, la maturité de nos vieilles perruques de l’ENA devraient choisir l’honnêteté de leurs démarche, pour y intégrer ce que nombre de français et d’étranger aimeraient contempler pour la conduite des affaires de la France, cette chose qui est oubliée car ne s’embarrassent ni des dogmes ni des idéologies que la république véhicule, cette chose s’appelle le bon sens.
Car le bon sens conduit aux reformes, c’est le bon sens qui institua les corps intermédiaires de l’ancienne France, qui garantissaient travaille de qualité et les petits ancêtres de notre sécurité sociale, ils naitront, vivront et seront garanties par le bon sens de nos rois. Ce même bon sens guidera nos souverains Très Chrétien à s’allier aux hérétiques luthériens et calvinistes contre les catholique Espagne et Autriche pour l’indépendance de la France. C’est ce même bon sens qui passera outre l’occupation des Allies en 1815 et donnera après les catastrophes de la révolution et de l’Empire des allies à la France, ces mêmes allies qui furent nos plus farouches ennemis quelques mois avant. C’est toujours le bon sens qui a fait l’Union Sacré de la Grande Guerre. C’est le bon sens qui à fait le France.

Où est aujourd’hui le bon sens français ? Cette question posée par un ami d’Afrique noir, amoureux de la France et bien plus que républicains et socialiste et autres ânerie réunis.
Où est cette notion qui sait faire le nécessaire quant il faut en poussant ou en mesurant son action ?
Le bon sens ne voudrait il pas que nous réunissions russes et américains autour d’une table pour régler la question Daesh ?
Le bon sens ne voudrait il pas que les peuples construisent l’Europe politique dans le respect de nos différences et des nos libertés ?
Le bon sens ne souhaite il pas le bien commun des français et par leur vocation mondial ceux des peuples dont les cris sourd raisonnent dans les tréfonds de l’Histoire.

La république ne peut avoir de bon sens, pacque cela induit le service du bien commun. Le républicain servant sa carrière et plus largement son parti, il ne peut qu’être l’essence de la division et donc de la domination. Le bien commun est le bien de tous, pas d’une faction ou d’un féodal, mais de la personne humain dans sa diversité, sa dignité et ses attachements sociaux.

De tous temps le bon sens fut cet art d’administrer la Cité en lui garantissant le bonheur de croire en sa grandeur matériel, culturel et spirituel et sur son avenir. Aujourd’hui vouloir être fière d’être de France est à la fois difficile et péjoratif, car la république ne veut plus de France, elle ne veut plus de français, après le chauvinisme cocardien de la révolution et le nationalisme du XXème siècle, la voila qui veut disséquer notre patrie comme un pourcentage d’héritage jalousement dispersé.
Ils veulent l’Empire d’Europe, un IV Reich qui ne portera pas le nom, droite comme gauche se retrouve dans leur opposition de forme pour le mal commun des français.
Nous Alliance royale refusons l’Empire d’Europe, nous refusons de nous voir imposé des décisions ne servant pas nos intérêts vitaux, brisant nos traditions, notre culture et notre art de vivre. Nous Alliance royale refusons de perdre nos libertés car nos devoirs nous imposent auprès du bonheur de nombreux peuples à qui nous devons tant.

Nous refusons, les dogmes et idéologies de non sens qui gouvernent la république.
Retrouvons le bon sens français, celui qui fut à l’œuvre pendant des siècles et qui demain donnera la force à la France d’assumer son rôle dans le monde.

Pour que vive le France, vive le Roi

M.Pautrat